Thetford Mines, le 7 octobre 2022 – Kemitek est fier de la nomination de son directeur général, David Berthiaume, comme membre du Conseil du Conseil national de recherche du Canada (CNRC), tel qu’annoncé hier par l’honorable François-Philippe Champagne, ministre de l’Innovation, des Sciences et de l’Industrie.

Le conseil du CNRC, constitué d’un président et de neuf membres, joue un rôle important dans la détermination des orientations stratégiques en plus d’exercer une surveillance du rendement des hauts dirigeants. À noter que le CNRC est la plus grande organisation fédérale de recherche et technologie du Canada.

« Le Conseil national de recherches du Canada s’efforce de créer un Canada et un monde meilleurs par l’excellence en recherche et en innovation. L’expérience et le bagage de ces éminents membres du Conseil éclaireront l’orientation stratégique du CNRC et guideront les travaux menés dans le but d’aborder des questions qui sont cruciales pour les Canadiens et Canadiennes, et de contribuer à consolider le leadership du Canada en matière de recherche et d’innovation dans le monde entier. » – L’honorable François-Philippe Champagne, ministre de l’Innovation, des Sciences et de l’Industrie

« C’est un immense honneur de voir ma candidature retenue après un sérieux et rigoureux processus de sélection. J’aborde avec beaucoup d’enthousiasme l’opportunité de contribuer au développement stratégique du CNRC », d’affirmer humblement David Berthiaume, directeur général de Kemitek.

À propos de Kemitek

Kemitek est un centre collégial de transfert de technologies (CCTT) ainsi qu’un Centre d’accès à la technologie (CAT) affilié au Cégep de Thetford dont la mission est d’aider les entreprises à innover dans les secteurs de la chimie verte et de la mise à l’échelle de procédés, tout en contribuant activement au maintien d’un pôle d’excellence régional à portée internationale.

S’adressant aux acteurs clés de la bioindustrie québécoise, le forum dressera une vue d’ensemble des innovations dans les filières industrielles de la bioéconomie ainsi que les perspectives et les défis pour ces filières au Québec. Des ateliers de discussion permettront aussi, à une masse critique de représentants d’institutions de recherche publiques, d’entreprises et d’organisations de développement économique, d’échanger sur les derniers progrès scientifiques et technologiques dans les différentes filières industrielles de l’économie biosourcée et ultimement d’amorcer une réflexion sur une stratégie québécoise commune en bioéconomie.